Au dessert, le 25 décembre de chaque année, les bûches de Noël sont les rois. À déguster avec un bon café après le déjeuner pour certains, à apprécier plutôt le soir du réveillon de Noël pour d’autres, les bûches sont devenues incontournables pour la fête de la nativité. Aujourd’hui, le choix en termes de bûches de Noël est très large, allant même jusqu’à des modèles de bûches à la Malagasy.
Le koba
Souvent, le koba (gâteau à base de farine de riz et de pistaches) se retrouve lors des mariages pour ceux qui optent pour un thème plus « gasy gasy » pour leur cérémonie. Mais de par sa forme se rapprochant de celle de la bûche de Noël, pour certains, le koba pourrait la remplacer. Pour une meilleure présentation, il suffit d’enlever l’enveloppe en feuilles de banane et d’y rajouter une touche décorative sur la thématique de Noël.
Le Goujam
Faisant la renommée des îles de l’océan indien, ce gâteau de manioc à la recette revisitée peut également faire office de bûche de Noël. Cette autre variante de la bûche s’adresse plus à ceux et celles qui veulent suivre un régime alimentaire strict et qui évitent tout ce qui est gras comme la crème. Il ne reste plus qu’à y ajouter des décors aux couleurs de Noël et le tour est joué.
Le Koba bûche
Ceux qui veulent se mettre à une tendance alliant le koba d’antan avec les nouvelles tendances en pâtisserie peuvent essayer le koba bûche. Recette revisitée du koba à la Malagasy et imaginée par le jeune pâtissier Mahery Nantenaina de Mah-Pastry, le koba bûche associe le koba original avec de la mousse, le tout enrobé d’une généreuse couche de chocolat noir pour équilibrer le goût.
La bûche de Noël standard
Pour beaucoup, la bûche de Noël standard reste la plus en vogue. Coûtant moins cher que d’autres et ainsi plus accessible, c’est le choix le plus évident pour de nombreuses familles malgaches. Avec les difficultés financières depuis la covid-19, nombreux sont ceux qui limitent leur budget pour les fêtes. La bûche de Noël n’est ainsi que symbolique pour certaines familles.
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