Selon les explications de Fanja Randriamamonjy, le frère restera toujours auprès de la femme durant ses mauvais jours quand tout le monde l’aura laissé tomber. Il sera le dernier à être là pour elle, c’est l’origine même de l’expression « Anadahy fara vady », le frère est le dernier mari. Mais la relation du frère et de la sœur n’est pas considérée comme celle des époux.
Amin’ny fanazavan’i Fanja Randriamamonjy, rehefa tra-pasahiranana ny vehivavy ka tsy misy na iza na iza azony ihanteherana intsony dia ny anadahy sisa no azony ihanteherana. Tsy mitovy amin’ny resaka vady iray trano izy ity fa resaka fifandraisana.